L’Aisne est le département qui a le plus souffert des destructions lors de la Grande Guerre.
Le long des différentes lignes du front, beaucoup d’églises sont peu ou prou endommagées, celles-là seront restaurées, deux cent vingt-quatre sept édifices religieux sont entièrement détruits, victimes des bombardements, des tirs d’artillerie ou de la folie destructrice lors du repli de l’armée allemande en juillet 1918.
Au lendemain de la guerre, il faut réparer, restaurer, rebâtir ou reconstruire.
Un grand nombre de ces bâtiments religieux, identité indispensable de nos villages, sont rebâtit à l’identique en utilisant les nouvelles techniques de construction (ciment armé, briques,…) en s’attachant à retrouver leur aspect initial en les parant de pierre de la région ou de briques. Pour soixante d’entre-elles, le choix audacieux est fait de reconstruire de nouvelles églises dans le style architectural émergeant, qui retrouve la pureté et la simplicité de la ligne et du trait. Plus tard ce style prendra le nom d’Art Déco.
Nombreux sont les architectes, artistes et artisans d’art, à intervenir sur ces changements, où il s’agit de redonner une âme aux villages meurtris. En respectant les directives des commanditaires: reconstruire grand et beau. Cela permet un retour en force et un renouveau de l’Art Sacré, où tous réinventent la vision de leur travail.
Cet ouvrage est une invitation à venir découvrir les trésors et réalisations de cette époque, divisé en trois parties: les arrondissements de l’Aisne où ces églises sont visibles et visitables.
Autodidacte et passionné par l’architecture Art Déco. Après un guide de balade pour découvrir cette architecture dans le centre-ville de Soissons, voici un autre guide pour découvrir les trésors des églises Art Déco de la reconstruction sur le département de l’Aisne.
LAON – VILLE D’ART ET D’HISTOIRE
Entre la ville haute et la ville basse, il y a environ une centaine de mètres, depuis des siècles de nombreux chemins relient le plateau aux autres quartiers situés au bas de la butte.
C’est une cinquantaine de grimpettes que vous allez retrouver dans ce livre, détaillées avec plan, profil et photos.
La Cité Médiévale de Laon avec ses nombreux monuments historiques est à visiter sans modération, à la fin de l’ouvrage, les principaux sont présentés.
En 1944, Mathilde, une jeune Alsacienne, s’éprend d’Amine Belhaj, un Marocain combattant dans l’armée française. Après la Libération, le couple s’installe au Maroc à Meknès, ville de garnison et de colons. Tandis qu’Amine tente de mettre en valeur un domaine constitué de terres rocailleuses et ingrates, Mathilde se sent vite étouffée par le climat rigoriste du Maroc. Seule et isolée à la ferme avec ses deux enfants, elle souffre de la méfiance qu’elle inspire en tant qu’étrangère et du manque d’argent. Le travail acharné du couple portera-t-il ses fruits? Les dix années que couvre le roman sont aussi celles d’une montée inéluctable des tensions et des violences qui aboutiront en 1956 à l’indépendance de l’ancien protectorat.
Tous les personnages de ce roman vivent dans «le pays des autres» : les colons comme les indigènes, les soldats comme les paysans ou les exilés. Les femmes, surtout, vivent dans le pays des hommes et doivent sans cesse lutter pour leur émancipation. Après deux romans au style clinique et acéré, Leïla Slimani, dans cette grande fresque, fait revivre une époque et ses acteurs avec humanité, justesse, et un sens très subtil de la narration.
Ajoute de la texture et permet les formes sculpturales. Créé une surface mate dure une fois sec. Peut s’utiliser seul ou teinté en ajoutant de la peinture acrylique. Le mortier se travaille au couteau, en laissant sécher lentement pour éviter les craquelures. Peut se fluidifier en utilisant les gels et médiums adaptés ou se diluer à l’eau. Pot de 250ml
Très beau livre expliquant, par le biais d’exercices en pas à pas, les techniques de colorisation aux marqueurs à alcool. Complet, précis et clair, ce livre vous donnera les clés pour optimiser l’usage de vos marqueurs et maîtriser fondus, dégradés, mélanges de couleurs…
« Je serai journaliste », se promet très tôt la jeune provinciale de Périgueux. Pourquoi ce métier ? Par goût de l’écriture ? Pour partir en reportage et raconter le monde ? Non, pour être libre. Après une enfance heureuse au sein d’une famille aimante et protectrice, Catherine Nay accomplit peu après son arrivée à Paris un rêve qui fut celui de tous les journalistes débutants dans les années 1960 : entrer à L’Express, la meilleure école de presse à cette époque, sous la double houlette de Jean-Jacques Servan-Schreiber et, surtout, de Françoise Giroud. Elle y trouve une sorte de seconde famille. La figure de Françoise Giroud, dont elle nous révèle ici des aspects inattendus, domine ces années. Elle incarne pour elle un modèle à la fois d’observatrice des moeurs de son temps et de femme de caractère. Catherine Nay a obéi dans sa propre existence à ce même désir de liberté et d’indépendance. Elle évoque ici pour la première fois sa rencontre en 1968 avec l’un des grands acteurs de la Ve République, Albin Chalandon, resté cinquante ans plus tard le grand amour de sa vie. Devenue familière des coulisses du monde politique, elle nous offre dans le premier volume de ses mémoires, entre portraits à vif et anecdotes savoureuses, un récit original et perspicace, plein d’humour, d’intelligence et de vivacité, des règnes successifs de Pompidou, Giscard et Mitterrand, jusqu’à l’élection de Jacques Chirac, une chronique intime de cet univers de passions où s’affrontent des personnages hors normes dont elle recueille les confidences, décrypte les facettes les plus secrètes ou les mieux dissimulées. Sous le regard de cette enquêtrice aguerrie, le pouvoir apparaît tel qu’il est, avec ses rites, ses pratiques, ses grandes et petites rivalités : une comédie romanesque faite de sensibilités particulières, par-delà les idées et les convictions. Catherine Nay la raconte sans cacher ses coups de coeur ni ses partis pris. Librement !
Formé dans sa plus grande partie par un massif accidenté, partagé en deux par le cours de la rivière, le champ de bataille de l’Aisne s’étendait entre Soissons et Reims . Les Allemands étaient installés sur les hauteurs de la rive droite et les alliés leur faisaient face. Un grand nombre de creutes ou boves, galeries naturelles creusées par les eaux, développées et multipliées par les habitants, abritaient des bataillons entiers. La célèbre Caverne du Dragon était une bergerie avant la guerre. Les troupes françaises l’occupèrent jusqu’en janvier 1915, date à laquelle elles furent chassées par les Allemands qui la perdirent en septembre 1917 et la reprirent en juillet 1918. Toute la caverne était éclairée à l’électricité. Elle comprenait de vastes chambres, un lazaret, une chapelle et même un cimetière. Lorsque le général Nivelle fut nommé au commandement des armées françaises le 12 décembre 1916, fort de ses brillants succès, il se sentait très confiant dans l’avenir : « Notre méthode a fait ses preuves. La victoire est certaine. Je vous en donne l’assurance. L’ennemi l’apprendra à ses dépens ». Dès la fin décembre, il consacra la plus grande partie de ses forces au champ de bataille de l’Aisne. Les directives pour l’offensive était claire : « C’est par la marche en avant brusquée de toutes nos forces disponibles, et par la conquête rapide des points les plus sensibles pour le ravitaillement des armées ennemies que nous devons rechercher leur désorganisation complète et précipiter leur repli ». L’offensive de l’Aisne fut déclenchée le 16 avril, précédée par une attaque britannique le 9 avril. Á 6 heures du matin, par un temps détestable, les armées de rupture s’élançaient d’un magnifique élan à l’assaut des positions ennemies sur un front de quarante kilomètres. D’un point de vue purement militaire, cette journée fut celle des mitrailleuses. Les Allemands en avaient mis partout, sous abris bétonnés ou en plein champ, mais peu en première ligne. Dès que les troupes d’assaut dépassaient le premier mouvement de terrain, elles subissaient des pertes terribles. Les chefs secondaires faisaient recommencer au pied levé, jusqu’à deux ou trois fois des attaques qui venaient d’échouer. Le manque de préparation de ces reprises les vouait à de nouvelles déconvenues en augmentant les pertes. Tout ce que les esprits réfléchis avaient prévu depuis longtemps s’était malheureusement réalisé. Le 20 avril, après cinq jours de combat, la rupture espérée ne s’était pas produite. Malgré son engagement de ne pas recommencer la bataille de la Somme, le général Nivelle restait déterminé à poursuivre énergiquement la bataille engagée.
En 1914, Louis Barthas a trente-cinq ans. Tonnelier dans son village de l’Aude – Peyriac-Minervois –, il est mobilisé au 280e d’infanterie basé à Narbonne. Il fera toute la guerre comme caporal. Il connaîtra le secteur sinistre de Lorette, Verdun, la Somme, l’offensive du Chemin des Dames ; la boue, les rats et les poux ; les attaques au-devant des mitrailleuses et les bombardements écrasants ; les absurdités du commandement, les mutineries de 1917, les tentatives de fraternisation.
Au front, Barthas note tout ce qu’il voit, tout ce qu’il ressent. De retour chez lui, survivant, il va rédiger au propre son journal de guerre, à l’encre violette, sur dix-neuf cahiers d’écolier. Sens de l’observation précise, lucidité, émotion et humour mêlés révèlent chez le caporal tonnelier un talent d’écrivain qui n’est gâté par aucune recherche d’effets littéraires. Le livre, présenté par Rémy Cazals, est devenu un classique – plus de 100 000 exemplaires vendus – depuis sa première édition en 1978, réalisée avec l’aide des petits-enfants de Louis Barthas et de la Fédération audoise des œuvres laïques.
Préface de Rémy CAZALS
Postface de Rémy CAZALS
Prix public TTC
15.00€
Titre
LES CARNETS DE GUERRE DE LOUIS BARTHAS, TONNELIER 1914-1918
Un matin de la Grande Guerre, le capitaine Armand siffle l’attaque contre l’ennemi allemand. Les soldats s’élancent. Dans leurs rangs, Alfa Ndiaye et Mademba Diop, deux tirailleurs sénégalais parmi tous ceux qui se battent alors sous le drapeau français. Quelques mètres après avoir jailli de la tranchée, Mademba tombe, blessé à mort, sous les yeux d’Alfa, son ami d’enfance, son plus que frère. Alfa se retrouve seul dans la folie du grand massacre, sa raison s’enfuit. Lui, le paysan d’Afrique, va distribuer la mort sur cette terre sans nom. Détaché de tout, y compris de lui-même, il répand sa propre violence, sème l’effroi. Au point d’effrayer ses camarades. Son évacuation à l’Arrière est le prélude à une remémoration de son passé en Afrique, tout un monde à la fois perdu et ressuscité dont la convocation fait figure d’ultime et splendide résistance à la première boucherie de l’ère moderne.
Né à Paris en 1966, David Diop a grandi au Sénégal. Il est actuellement maître de conférences à l’université de Pau.
En septembre 1914, l’asile de Prémontré, dans l’Aisne, près de Soissons, abrite quelque 1300 malades. Des aliénés, des fous, des « zinzins », comme les appelle le gardien-chef Loisel. L’armée prussienne, avec à sa tête le colonel Von Stauffenberg, qui se dirige à marche forcée vers Paris, est en vue. Le directeur se fait la malle, promptement suivi du médecin-chef adjoint et de quelques autres, abandonnant les malades à l’envahisseur. André Letombe, l’économe en fin de carrière, quelques gardiens et religieuses refusent de quitter leur poste. Avec les fous, ce sont les oubliés de Prémontré.
Sous la tutelle des nouveaux maîtres prussiens, la vie, à Prémontré, devient périlleuse. Les vivres viennent à manquer, et la faim gagne. Le charbon se fait rare, et le froid mord les corps et brûlent les âmes. Au coeur de cette enceinte de misère et de désolation, les malades tombent comme des mouches.
Alors Letombe, secondé par le jeune et mystérieux Clément, va passer un accord inouï avec les paysans des alentours. Puisque les bras des mobilisés manquent, les malades valides travailleront aux champs. Comme Letombe le dit lui-même, il « troque » ses fous contre de la nourriture… pour les sauver tous d’une mort certaine.
D’après une histoire vraie, la souffrance et la résistance des aliénés de Prémontré et de leurs soignants pendant la Première Guerre mondiale. Ce n’est pas tout à fait une fiction : l’histoire des fous de Prémontré puise aux meilleures sources historiques. C’est surtout un formidable récit de courage et de résistance, un petit miracle de survie au milieu de la fureur de la guerre.
Septembre 2019.
Le corps d’une étudiante est découvert dans une chapelle templière en plein cœur de la cité médiévale de Laon, dans l’Aisne. L’affaire est rapidement confiée au commissaire Olivier Markowski du S.R.P.J. de Reims. Au cours de son enquête, il fera la connaissance de Julia Flamand, jeune guide-conférencière à l’office de tourisme de la ville et destinataire d’une étrange lettre anonyme le lendemain du meurtre.
Tous les indices laissés par le tueur convergent vers les ruines d’une ancienne abbaye cistercienne du XIIème siècle située à l’orée d’une forêt domaniale, théâtre d’un crime non résolu trente ans plus tôt.
28 juin 1914, assassinat de l’archiduc François-Ferdinand.
L’Europe s’apprête à vivre un des plus grands conflits de l’histoire du XXe siècle. La première guerre mondiale débute et ne cessera que le 11 novembre 1918.
Avec le Monopoly 14-18, vivez au rythme des soldats sur les champs de bataille. Rejoignez les plus grands officiers, réparez vos chars, envoyez vos pigeons en mission, recevez du courrier de vos marraines de guerre…. Posez vos jalons et devenez un héros de la Grande Guerre !
Jeu Monopoly Bilingue Français/Anglais, édition collector spéciale Grande Guerre.
Contenu :
1 plateau de jeu ou les rues sont remplacées par les lieux et batailles mythique de la première guerre mondiale.
6 pions métalliques (tanks, équipements divers)
28 cartes titres de propriété (batailles, villages, lieux emblématiques)
16 cartes « Coquelicot » & 16 cartes « Bleuets »
Billets de banques 14-18
32 maisons (baraquements)
12 hôtels (Quartiers Généraux)
2 dés
Règles du jeu en français, anglais, allemand et néerlandais
This Monopoly 14-18 game is bilingual (french and english). Rules of the game in french, english, german and dutch.
Aujourd’hui encore, les Templiers fascinent et sont connus de tous. Comment cet ordre, dissous en 1314 après à peine 200 ans d’existence, peut-il susciter une telle curiosité et inspirer tant de films, séries, livres et jeux vidéo ? Quelles sont les parts de mythe et de réalité dans les récits répandus sur ces moines-soldats ? Grâce à cet ouvrage, vous connaîtrez enfin l’histoire véritable des Templiers, et vous découvrirez comment était organisé le plus célèbre des ordres militaires et religieux. Vous croiserez aussi la route de personnages illustres tels que Philippe le Bel, Jacques de Molay, ou encore Saladin. Alors… suivez le guide !
La comptabilité est un outil de gestion indispensable à la bonne marche d’une entreprise. Grâce à elle, vos piles de factures, de relevés bancaires et de bulletins de paie se transforment comme par magie en bilan pour votre banquier, en balance pour établir vos déclarations fiscales, etc.
En s’appuyant sur de nombreux exemples, ce livre vous guidera dans la tenue de votre comptabilité. Grâce à lui, le contenu des comptes annuels n’aura plus de secrets pour vous. Vous serez bientôt incollable sur les notions d’immobilisations, de charges, de produits.
Dans cette nouvelle édition enrichie, vous saurez tout sur les dernières mesures législatives (prélèvement à la source, etc.) et vous découvrirez même quelques astuces (tout à fait légales !) pour présenter votre résultat de manière favorable.